0 avis
Que ta joie demeure
Des travailleurs, leurs machines, leurs tâches. La répétition de gestes quotidiens, la routine de la pause, de l'heure du déjeuner, de ces heures travaillées. Que peut-on établir comme dialogue absurde et abstrait entre l'homme et son besoin de travailler ? Peintres, menuisiers, nettoyeurs, ouvriers. Si leurs gestes sont répétitifs, les produits, eux, sont tout à fait concrets.